jeudi 23 avril 2009

Musique

Pour mon deuxième message, j'ai envie de parler de musique. Mais à quoi bon parler une énième fois d'un groupe ou d'un artiste que les hypothétiques lecteurs de ce blog connaissent aussi bien voire mieux que moi ? J'ai donc décidé de parler ou de faire un peu de pub pour l'album de Thomas Dutronc.
Pourquoi cet album, me direz-vous, loin des Silverchair ou Metallica que j'écoute habituellement ?
Parce que je commençais à désespérer de trouver un artiste qui fait des choses pour le commun des mortels (de la variété, quoi) avec une certaine qualité.
Quand ma copine à acheté ce disque, j'étais plutôt dubitatif. Les "enfant de", en général, sont souvent comme les suites de films, beaucoup moins bons.
Mais là, force est de constater que les chiens ne font pas des chat, et que si l'artiste ressemble physiquement à sa mère, musicalement, c'est son père qu'on reconnaît. D'ailleurs, il y fait plusieurs références dans les paroles. Même si son style est différent.
Car cet album de variété teinté de jazz manouche est plus une rencontre entre Jacques Dutronc et Django Reinhardt, toute proportion gardée avec l'un des meilleurs guitariste de tous les temps, agrémentée de quelques chansons d'un style plus personnel voire de quelques délires (Les frites, bordel, et une malus track).
Depuis mon retour dans le monde du travail (depuis une semaine, donc), cet album me met la pêche sur la route le matin, suivi d'un petit Metallica ou Nirvana (et oui, j'ai de la route).
En bref, cet album parle, sans prétention (n'est-ce pas, Vincent Delerme) et avec humour, des turpitudes de la vie.

1 commentaire:

  1. vouai, j'ai rien contre lui, j trouve ca meme coolos ce qu'il fait, mais j'ai du mal avec le jazz manouche ou encore ses dérivées.
    henry rollins rules!!!!

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